Les villages marocains traversent une profonde crise sociale et économique, qui fait qu'une grande partie des jeunes vivent dans l'exclusion et la marginalisation, et ne sont pas intégrés dans les programmes et stratégies de développement de la jeunesse.
Les jeunes villageois souffrent de plusieurs problèmes, à savoir l'absence d'infrastructures de base qui contribueront au développement rural, en particulier les établissements d'enseignement et de formation, ainsi que l'absence d'installations sportives et techniques, entre autres taux intéressants, le taux de chômage, qui en 2007 était d'environ 15,9 pour cent. Pour les 10-34 ans, la nature saisonnière des activités villageoises se traduit toujours par la réalité du chômage improductif, le plus lysine sur l'emploi. Outre le fléau de la pauvreté qui touche plus de 8 millions de personnes dans les villages et les vallées marocains, les statistiques montrent que 75 pour cent des pauvres du Maroc vivent dans le monde rural, et que 30 pour cent de la population rurale dépense 3 000 dirhams par an, ce qui est proche du seuil de pauvreté fixé par les organisations Dodo. Pourquoi, pourquoi ?
La nature des structures immobilières qui prévalent dans le monde rural n'aide pas à produire et à accroître la productivité, caractérisée d'une part par la fragmentation des biens au niveau des petits paysans et concentrée entre les mains d'une minorité de grands propriétaires terriens, ce qui a creusé les disparités sociales et approfondi la classe dans le monde rural. La terre dans la badia est toujours la principale source de richesse et donc de pouvoir et d'influence, mais elle souffre de l'attrition qui a contribué à appauvrir le monde rural par la migration interne des jeunes les plus vitaux, accompagnée par la dispersion du capital de la connaissance liée aux techniques et méthodes de travail dans le domaine agricole, surtout si Nous avons appris que plus de 90% de la population rurale du Maroc vit dans des exploitations agricoles.
Malheureusement, étant donné les problèmes dans le monde rural, il est difficile pour les habitants de ces régions de créer des auto-projets, étant donné l'absence de leur potentiel empirique et financier. Les jeunes villageois ne savent rien des programmes gouvernementaux pour le groupe de jeunes, comme le programme de micro-finance et d'autres programmes financés par l'État en raison de l'absence de campagnes de sensibilisation pour les introduire dans le monde rural, et l'absence de canaux de communication entre les jeunes ruraux et les institutions gouvernementales. Perpétuer une culture de la réticence des jeunes à tout faire.
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